Se souvenir de temps qui remontent à près de 2500 ans.
Pourquoi ?
C’est au message délivré par le travail sur cette période que nous nous attacherons.
Montrer que notre identité doit être préservée dans un Vivre ensemble qui en certains lieux et certains temps est égratigné.
Au travers du récit connu des enfants ou découvert par nos nouveaux entrants, les notions de lumière/connaissance et lumière physique du miracle de la fiole se retrouveront dans les cours de matières juives mais aussi en littérature, art et musique.
Pour les plus jeunes, fabriquer sa hanoukia permettra de comprendre les huit jours de l’allumage mais aussi de rêver aux jouets qui leur sont offerts rituellement. Jouer aussi avec les toupies tout en chantant en ivrit Sevivon.
Pour d’autres, ce sera le travail sur la résistance à l’oppression et sur l’importance de la connaissance et de l’étude, seul moyen de lutter contre l’obscurantisme.
Pour d’autres classes, tout tournera autour de la lumière, naturelle ou fabriquée par l’homme, de nos jours ou au travers des temps. Lien si naturel avec l’électricité. Avec les notions d’ombre, de silhouette, de reflet.
La lune, le soleil, les astres seront les héros chez les cours moyens, rendus encore plus curieux après leur visite au Planétarium.
Élèves qui liront aussi divers contes dits des origines, besoins des hommes en tout temps d’avoir une explication de la création. Pour ceux qui ignoraient ou refusaient l’explication biblique.
La vie à l’école se ressentira de ces découvertes : grande braderie organisée par les enseignants pour inciter les familles à acheter des jouets, des livres ou autres éléments proposés.
Fabrication de beignets pour le plus grand plaisir des papilles, toujours en relation avec l’huile de la fiole.
Allumage avec parents et enfants dans la synagogue en présence du Grand Rabbin d’Aix en Provence. Chants présentés à cette occasion.